• Les mots en gras indiquent les mots à accentuer dans la phrase.
• Les textes [ entre parenthèses ] donnent des indications sur les voix, les sons.
• Le hastag invite à mimer en faisant des gestes avec ses mains ou à faire une grimace.
• Si les mots sont en plus gros, très gros on les dit plus fort, bien sûr. etc etc etc...
Les instructions complètes se trouvent au début du livre. Bien sûr, on s'est aussi amusé avec les typographies, d'ailleurs, voici quelques exemples de pages du livre.
Les effets visuels sur le texte permettent aussi à l'enfant de participer à la lecture
Les indications de lecture sont faciles à suivre
Elle se déroule dans la ville de Previstock, où le dernier chic pour les enfants est de posséder un cochon électrique volant pour se déplacer. Odilon, notre héros, rêve d’en avoir un, mais son père lui offre un cochon à pédales écolo qui… ne marche pas très bien. Seulement, quand les cochons volants électriques tombent mystérieusement en panne, c’est lui qui part secourir ses amis perdus dans la forêt IN-TER-DITE.
On ne lit pas le livre en entier en une fois, c'est un peu comme une série "Netflix" que l'on peut raconter tous les soirs. Et d'ailleurs, à la fin de tous les chapitres, vous retrouverez un résumé de l'histoire qui vous permettra de reprendre la lecture facilement.Nous vous proposons de télécharger les deux premiers chapitres, vous pourrez les imprimer et commencer à raconter cette aventure.
Quand j’étais enfant, ma mère me racontait des histoires. Cela a duré longtemps, et alors même que je savais lire, j’aimais qu’on me lise des histoires. Lire un livre à son enfant c’est une parenthèse agréable pour le parent et l’enfant. Ça n’est pas une contrainte comme l’emmener à l’école, lui dire de s’habiller, etc. Lire une histoire à son enfant c’est passer un bon moment avec lui.
Parce que le livre est basé sur les sons, les bruits, les voix. L’histoire est construite autour des sons. Le texte a ensuite été travaillé pour se lire facilement à haute voix. J’ai lu beaucoup de livres à mes enfants qui ne « coulaient » pas. Ici, tout a été fait pour que la lecture soit fluide, simple. Et parce qu’on n’est pas tous de grands orateurs, j’ai mis en gras les mots sur lesquels on appuie. Grâce à eux, lire l’histoire avec le ton devient simple. Et puis, pour le rendre attractif, et parce que ça m’amusait, j’ai joué avec les typographies, créé des effets… Ces effets sont un peu les images du livre.
Oui, bien sûr, on peut dans un premier temps lire l’histoire côte à côte avec son enfant, il va pouvoir, quand on lui relit, repérer les mots écrits en gros et donc lire avec le parent : les onomatopées, les bruits, les mots répétés. Cela lui permet de commencer à identifier les lettres. Et un enfant qui lit déjà peut bien sûr lire le livre tout seul. Les animations de typographie rendent le livre attractif. Il peut être aussi le premier livre sans image qu’un enfant va réussir à lire seul.